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En 2017, la commune comptait 1 161 habitants[Note 1], en augmentation de 8,91 % par rapport à 2012 (Eure : +1,73 %, France hors Mayotte : +2,36 %). Marcilly-le-Châtel fait partie du Forez.Petit village situé en bordure de la plaine du Forez dans la Loire, sur un ancien site volcanique, il est réputé pour ses vignes qui font partie de l'AOC Côtes du Forez ainsi que pour sa volerie située au sommet d'un château médiéval du XII e siècle détruit et reconstruit au XIX e siècle. Henrys-Marcilly est de la même famille que Henry-Larivière, futur député à la Convention. La commune a disparu officiellement le 1er janvier 1849 à la suite de la fusion avec sa voisine Ogny. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Il aborde la commune à 396 m d'altitude et en sort à 375 m d'altitude. Marcilly-en-Villette is a commune in the Loiret department in north-central France . L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.
Ses habitants sont appelés les Marcicampois. Dans la mouvance du château de Villemaur, le seigneur le plus ancien qui est connu est Montanus au VIe siècle. Lakosainak száma 2124 fő (2017. január 1.). Marcilly-lès-Mont-Serein, plus longtemps connue sous le nom de Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean, était une commune française située dans le département de la Côte-d'Or. +/-Marcilly-en-Villette La Ferté-Saint-Aubin, Ménestreau-en-Villette, Saint-Cyr-en-Val, Sandillon és Vienne-en-Val községekkel határos.Népesség. En 1167, Guy II de Forez, alors en conflit avec l'archevêque de Lyon, obtient de Louis VII les droits régaliens pour le château de Marcilly[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[5]. Précédé à l'Est d'un balcon de pierre reposant sur des arcades, il est flanqué d'une tour circulaire qui a retrouvé son toit conique et d'une tour carrée tronquée, résultant de la transformation d'une ancienne tour circulaire, qui contient un escalier à vis. Au XVI e siècle, la motte de Marcilly passe, par mariage, à Florent de Martel, gentilhomme dauphinois, puis à Jean-Gaspard de Bionnay. Les armoiries de Marcilly-le-Châtel se blasonnent ainsi : Parti d'or et d'azur; au filet en bande de gueules brochant[13]. Il est appelé à siéger le 10 décembre après la démission du démissionnaire Landrian. Gravement malade, il prend sa retraite en 1848 avec le titre de conseiller honoraire, après une carrière de près de soixante-dix ans. Il y avait comme écarts : Abondance, Basson, Basson-le-Petit, la Belle-Epine, Bois-l'Abbesse, Chantelou, le Château-Gaillard, les Chaumes-du-Manche, Chavaudon sur un cadastre de 1831. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Marcilly-lès-Mont-Serein&oldid=167998320, Wikipédia:ébauche ancienne commune de France, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Bourgogne-Franche-Comté/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Articles connexes. En 1640 Louise de la Serre, dame de la Mothe était l'épouse de Edmé d'Avogarde ; le dernier seigneur est M. Jean-Baptiste Noel, garde de la porte de Monsieur frère du Roi qui en plus du château avait 200 arpents de terre. En 2017, la commune comptait 725 habitants[Note 1], en augmentation de 3,28 % par rapport à 2012 (Aube : +1,44 %, France hors Mayotte : +2,36 %). Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). La dernière modification de cette page a été faite le 1 mars 2020 à 21:39. Le 31 août 1791 il est élu député suppléant de la Haute-Marne à l'Assemblée législative. Jean de Mesgrigny et Antoine de Bretagne se disaient aussi seigneurs de Marcilly, en 1680. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hameau aussi ancien fief qui dépendait de Villemaur, il avait aussi son château, en 1362 "une maison c'on dist le Motoy[6].
La commune de Marcilly-en-Villette se trouve dans le quadrant sud-ouest du département du Loiret, dans la région agricole de la Sologne [1] et l'aire urbaine d'Orléans [2].À vol d'oiseau, elle se situe à 17,6 km d'Orléans [3], préfecture du département, et à 8,0 km de La Ferté-Saint-Aubin, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015.
En 1303[2], la maison forte qui portait à l'époque le nom de l’Étang, est la possession de Jean de Marcilly, seigneur de Chevenizet (Nochize). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un aérodrome allemand enherbé a été exploité au cours de la Seconde Guerre mondiale[3]. À la fin du XVIIIe siècle, la fille et héritière du précédent épouse Claude Voiret, qui appartient à une vieille famille lyonnaise ; par les femmes, le bien est transmis à la famille Sarton du Jonchay qui le possède encore de nos jours. En 1795, il est promu juge au tribunal civil de Chaumont. Vers 1650, aux Bionnay, succède Étienne Dagonneau. En 2017, la commune comptait 1 390 habitants[Note 1], en augmentation de 5,62 % par rapport à 2012 (Loire : +1,22 %, France hors Mayotte : +2,36 %). Marcilly-le-Châtel fait partie du Forez.Petit village situé en bordure de la plaine du Forez dans la Loire, sur un ancien site volcanique, il est réputé pour ses vignes qui font partie de l'AOC Côtes du Forez ainsi que pour sa volerie située au sommet d'un château médiéval du XII e siècle détruit et reconstruit au XIX e siècle. +/-Marcilly-Ogny Mont-Saint-Jean, Sussey, Thoisy-la-Berchère, Beurey-Bauguay és Chailly-sur-Armançon községekkel határos.Népesség. Noms connus ː Marcilleyum (XIVe siècle, avant 312) ; Marcilley (1376) ; Marcilley soubz Mont Saint Jouhan (1397) ; Marcilley soubz Mont Saint Jehan (1442) ; Marcilly (1467) ; Mercilly lez Sainct Johan (1519) ; Marcilly soubz Mont Sainct Jehan (1538) ; Marcilly soubz Mont Sainct Jean (1574) ; Marcilly soubs Mont Saint Jean (1657) ; Marcilly lès Mont Saint Jean (1668) ; Marsilly (1751) ; Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean (1783) ; Marcilly-lès-Mont-Saint-Jean (an II) ; Marcilly-lès-Mont-Serein (époque révolutionnaire durant la Convention nationale (1792-1795), encore en 1814) ; Marcilly (XIXe siècle) ; Marcilly-Ogny ou Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean et Ogny (XIXe siècle)[1],[2],[3]. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune. Population municipale légale en vigueur au 1. Liste des communes de Saône-et-Loire; Art roman en Saône-et-Loire; Liens externes +/-Marcilly-Ogny Mont-Saint-Jean, Sussey, Thoisy-la-Berchère, Beurey-Bauguay és Chailly-sur-Armançon községekkel határos.
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Population municipale légale en vigueur au 1, Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 568 -, Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années, atelier de lecture du projet Communes de France, aide à la rédaction d’un article de commune, Calendrier départemental des recensements, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, École des hautes études en sciences sociales, Marcilly-la-Campagne sur le site de l'Institut géographique national, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Marcilly-la-Campagne&oldid=173147287, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article avec modèle Infobox Commune de France, Article avec une section vide ou incomplète, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.