Le scénario va d’un point A à un point B sans faire d’écart et ne part jamais en quête d’inattendu.
Retour vers le futur III : pourquoi il faut revoir le moins bon film de la trilogie ? Pourquoi donc m'inflige-je cela ? When a pill that gives its users unpredictable superpowers for five minutes hits the streets of New Orleans, a teenage dealer and a local cop must team with an ex-soldier to take down the group responsible for its creation. Faut-il pour autant enterrer Project Power, refusant son côté obscur de produit marketing ? Bref... @kouak
Leur alliance en devenir est donc logiquement le centre névralgique de "Project Power" qui n'oublie jamais de développer l'humanité de leurs interactions lorsque les flingues et les super-pouvoirs se font plus rares à l'écran.
15 abonnés 11 abonnés En guise de scénario, on nous propose un cocktail prometteur entre « Limitless » (pour la pilule magique), la saga « X-Men » (pour les super pouvoirs) et « Bright » de la même plateforme pour l’association des personnages.
Un mixte qui apporte un soupçon d’originalité aux deux genres et qui ne se présente pas comme autre chose qu’un objet de visionnage décomplexé, à savourer sur son canapé avec un coca et une pizza. En plus de ces personnages, "Project Power" mise bien entendu sur l'action et un déferlement de différents super-pouvoirs pour nous en mettre plein les yeux. Ce contraste un peu stérile entre des récits arc-boutés sur leurs concepts de petits malins sous perfusion de jeux vidéo (on gobe ici des super-pouvoirs comme Mario des champignons, tandis que la progression dramatique s’articule autour de quasi-combats de boss) et des standards de fabrication qui manquent cruellement d’ambition et de vision joue un temps contre le film.
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Avec Jamie Foxx et Joseph Gordon-Levitt en tête de gondole, il nous était difficile de manquer ce nouveau rendez-vous.
À bien des égards, Project Power s’avère turbo-débile, mais assumant parfaitement son penchant pour la bourrinerie, se complaît dans l’accélération permanente et les petits coups de boule narratifs. Le film coche les cases et ne s’enflamme jamais que ce soit dans ce qu’il raconte ou dans sa mise en scène. Néanmoins, en se basant dans une Nouvelle-Orléans moderne et bien loin des clichés habituels, la trame de "Project Power" a la bonne idée de ne jamais éluder le triste passé de martyre de la ville et s'en sert même pour dénoncer, de manière plus générale, l'influence des lobbies pharmaceutiques sur le gouvernement, puis sur la société américaine où la pauvreté et la consommation de médicaments/drogues sont les deux composantes d'un cercle particulièrement vicieux. Si ce n'est qu'il ne s'assume jamais en tant que pur objet de délire tellement loufoque qu'il en est attachant.
Recrutement | – Lee_Dailey Sep 3 '19 at 15:51 Project Power obéit à ce cahier des charges, malheureusement. Préférences cookies | Le scénario va d’un point A à un point B sans faire d’écart et ne part jamais en quête d’inattendu. Dans ce contexte sympathique, auquel on peut ajouter la présence bienvenue d'acteurs afro-américain dans les premiers rôles, Power développe une histoire et des péripéties qui malheureusement se montrent assez banales, et qui ne tente jamais de sortir des sentiers battus. Et puis il y a le casting évidemment. Le même questionnement me vient à l'esprit quasiment systématiquement à chaque fois que je visionne une production Netflix : pourquoi m'inflige-je cela ? Mais est-ce l'objectif ? 13 abonnés Meilleurs films et séries fantastiques sur Netflix, [Test] Animal Crossing New Horizons : T’as le Nook coco. Comparatif meilleure néo banque que choisir ?
640 abonnés 78 abonnés Comme on le disait, pas de Marvel ici, néanmoins la branche de Disney et Netflix partagent une même passion pour le cahier des charges où on doit cocher des cases pour plaire au patron. Lire ses 4 critiques, Suivre son activité film produit avec un potentiel certains mais comme souvent chez netflix, ça se traduit par un pétard mouillé sans vie, bordel ça a couté 85 millions, mais ou est passé l'argent ?
mais, en lui conjuguant une durée encore bien plus éphémère que les pouvoirs de l'ami Hourman de chez DC et un côté "au petit bonheur la chance" selon le don octroyé (vous pouvez devenir un surhomme comme une bombe sur pattes), le concept de "Project Power" a de quoi offrir des perspectives franchement réjouissantes ! Bon casting avec JGD & Foxx. C’est le genre de film qui détend un samedi soir si l’on n’est pas ou peu exigeant mais on est loin des blockbusters que ce film veut égaler. Découvrez les compétences nécessaires pour devenir analyste de données certifié par Microsoft. Enfin une production Netflix de qualité dans le genre : on prend 2 excellents acteurs (Jamie Foxx et Joseph Gordon-Levitt), un gros budget au service d'une bonne idée (franchise?) Subtil comme du gros sel éternué sur une plaie, The Craft, Halloween... 10 mauvais films cultes qu'on aime quand même (un peu). Les grosses productions Netflix se suivent et ne se ressemblent pas. Aaah, le fantasme de la drogue aux propriétés hors-normes pour son utilisateur, l'idée n'a rien de nouvelle et traverse tout autant les comics que les films ou les séries depuis des années (coucou "Limitless", "Les 4400" & co !) J’aurais aimé que la ville de la Nouvelle-Orléans soit mieux utilisé, comme l’avait fait par exemple la saison 2 de Preacher. Dommage. L'histoire est brouillonne et pas tres intéressante. Voilà donc un projet qui avait le potentiel pour être bien des (bonnes) choses s'il avait pu être pris en mains avec un minimum de tact ou de singularité. Il s’agit d’une proposition, d’une alternative accessible qui ne se vend pas, mais qui s’offre. Un homme solitaire appelé le Major tente de remonter vers le sommet de l'organisation qui a créé cette étrange substance, sa route va croiser celle d'une jeune dealeuse et d'un flic lui-même devenu consommateur de Power pour jouer à armes égales avec les criminels...
Ou juste faire une remarque ? Et comme ces moments sont légion, certains débouchant même sur de vrais morceaux de bravoure inespérés (la séquence de la cage de verre dans le night-club en est le plus réussi), autant dire que "Project Power" est traversé par un rythme soutenu qui fait plutôt plaisir à voir ! De plus la logique narrative de l’évolution spatiale des personnages et de leur enquête n’est pas très au point et les méchants encore une fois chez Netlix très peu charismatiques.
Deuxièmement : il y a une forte probabilité que ça ne marche pas et qu’on en meurt.
C'est en effet là un des meilleurs arguments du long-métrage : dès qu'Ariel Schulman et Henry Joost paraissent s'enfermer dans la "normalité" d'une fusillade, d'une baston ou d'une course-poursuite, celles-ci connaissent à chaque fois un nouveau pic d'intérêt avec le power-up que subit un de ses protagonistes.
Avec Jamy, les super-pouvoirs, c'est pas sorcier. Si le duo n’a bien sûr pas la puissance d’un Charles Burns avec son roman graphique Black Hole, sa manière d’inscrire ses plus jeunes personnages dans une Nouvelle-Orléans post-Katrina fonctionne. On ne peut pas dire non plus que les réalisateurs aident à donner de la profondeur à l'ensemble. top !!!! Le succès de la plate-forme de streaming ne faiblit pas et pour palier ses pertes de catalogue (sur lesquelles elle communique toujours très peu, voire jamais), elle mise encore et encore sur ses propres productions. Bonjour, Si, au début, notre immersion dans cet univers fait quelque peu frémir par son aspect de production à la Luc Besson qui en fait à la fois trop et pas assez pour s'inscrire dans les codes graphiques d'une adaptation de comic-book se voulant un minimum réaliste (rappelons que "Project Power" est un film original, chose finalement assez rare dans le domaine), le film va ensuite sembler vouloir juguler à la fois les excès et les limites de ses ambitions visuelles afin de délivrer un maximum de séquences d'action efficaces et qui seront toujours elles-mêmes dopées par le shot d'adrénaline induit par l'intervention de sa drogue miraculeuse. À défaut, il rejoint la liste (de plus en plus conséquente) de films lancés sur les plate-formes qui ne prennent ni le temps ni le soin de se trouver une personnalité.
CGU | Alexandre Wetter, Pascale Arbillot, Isabelle Nanty, Par les membres ayant fait le plus de critiques, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary, Dumpy Toys - Les Aventures du Capitaine Jimmy Crochu Bande-annonce VF. Quant à Jamie Foxx, le garçon nous joue un dérivé de son personnage de Miami Vice et de Baby Driver, pour un résultat énervé où ça castagne à la moindre occasion. Oh oui ! Alors, oui, l'ensemble de la proposition reste incontestablement mineure (le lot hélas trop habituel d'une majorité de productions Netflix de ce type) mais "Project Power" est suffisamment solide pour constituer un bon divertissement en son domaine et même, petit miracle, nous donner envie de découvrir une possible suite à cette aventure. Pour ne rien arranger, la bande-son va de l'atroce à l'inécoutable (le RnB industriel, je ne peux pas désolé). En gros, les capacités offertes par ces précieuses pilules se résument à du déjà-vu et le monde au bord du chaos se limite à quelques dealers et un braquage (bonjour l'anarchie !). très bonne vibration que ce power nous procures, super casting , belle couleurs , un divertissement surgissent, (pour les moins optimiste, qui non plus de frétillement trop lasser de consommer du tous fais, nous nous passerons de leurs commentaire), pour se laisser exploser par se power qui tiens toutes ses promesses. À bien des égards. On retrouve la veine sucée par Henry Joost et Ariel Schulman dans leur précédent film Viral, qui occasionne ici quelques sympathiques mutilations et nuance grandement la dimension conviviale et cool du film qui, s’il ne se la joue pas Cronenberg pour autant, s’amuse à maltraiter plusieurs de ses protagonistes. Cette indécision quant à sa nature ne peut qu'entailler l'énergie mise au service d'un récit limité pour pas dire lamentable. Et c’est beaucoup moins satisfaisant ici.
Mais franchement, sinon, ça se regarde... Le film ne se sent pas mature à cause du personnage de Dominique Fishback, Robin alors qu'elle fait de son mieux avec ce qu'on lui a donné pour être honnête avec l'écriture de son personnage c'est difficile. spéciales, et autres...), Copyright © 2005 - 2020 Just Digital Group Media - JDG Media, Tous droits réservés, [Critique] Project Power : Netflix nous drogue aux super-pouvoirs, [Critique] Lovecraft Country, une série d’horreur promise à un succès monstre, Appuyer sur entrée pour lancer la recherche, Black Friday, Cyber Monday, Double 11, Soldes, Prime Days, French Days, [Test] Samsung Galaxy S20, le petit frère qui a tout d’un grand, [Test] Surface Pro 7 de Microsoft : le 2-en-1 qui aurait pu être parfait. Netflix qui remplace les direct to video des années 90 ou les films de deuxième partie de soirée le samedi soir sur TF1 toujours dans les années 90... nanardland, Project Power : critique qui a bien pris ses vitamines dans le nez. Sur ce coup-là, Project Power nous a fait penser à The Boys (Amazon Prime Video) avec sa joyeuse démonstration d’organes éclatés, même si les effets-spéciaux sont souvent risibles.